En cette fin de semaine consacrée à la QVT, l’équipe CAMCHA a réalisé une enquête portant sur le bien être en entreprise. 

Avant d'en montrer résultats, il est bon de rappeler les notions de RSE et de QVT. 

Selon le site du gouvernement, la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. En d'autres termes, la RSE c'est « la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable ». Une entreprise qui pratique la RSE va donc chercher à avoir un impact positif sur la société tout en étant économiquement viable.

Concernant la notion de qualité de vie au travail, celle-ci renvoie à des éléments multiples, relatifs en partie à chacun des salariés mais également étroitement liés à des éléments objectifs qui structurent l’entreprise. Elle peut se concevoir comme un sentiment de bien - être au travail perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail, le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabilisation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance et une valorisation du travail effectué.

Chaque entreprise veut le meilleur pour ses salariés, c’est un fait. La notion de RSE en est l’exemple parfait. 

Comment CAMCHA vous permet d’intégrer un objectif de RSE dans votre entreprise

·       Offre des avantages aux salariés et à leurs familles 

·       Un service type CE 

·       Gratuit pour le chef d’entreprises et les indépendants 

·       Augmente le pouvoir d’achat 

·       Aide à la diminution du turn over 

·       Augmente l’engagement de ses salariés donc hausse de la productivité 

·       Permet d’atteindre ses objectifs de bien-être de ses salariés 

·       Augmente ainsi la marque employeur de l’entreprise (attraction de nouveaux talents). 

Pour ce qui est des résultats de l’enquête ; 

Cette enquête nous a permis d'isoler le besoin des salariés et d’en comprendre la source. 

Pour clôturer comme il se devait la semaine QVT by CMACHA, celle-ci s’est terminée avec une conclusion sous forme de question - réponse avec l’experte Ressources Humaines Diane SACLEUX. 

Voilà ce qu’il en est sortit : 

Qu’est-ce que la QVT et à qui s’adresse-t-elle ?

La QVT s'adresse à toutes les entreprises, voire même plus à toute organisation. A partir du moment où il y a 1 salarié finalement. 

Le principe de Qualité de Vie au Travail consiste à mettre en relation le bien être des salariés à la performance de l’entreprise.

La QVT recouvre exactement 6 items :

- l’égalité professionnelle, 

- l’engagement et le management

- la santé au travail,

- le contenu du travail,

- compétences, parcours professionnels,

- les relations sociales, climat social

L’entreprise doit pouvoir travailler sur ces 6 domaines et les faire vivre. Stratégiquement, il est conseillé d’éviter de se pencher sur les 6 à la fois car la charge de travail pourrait être considérable. 

Dans quel but mettre en place une politique QVT ?

Une politique QVT permet d’une part que le salarié se sente bien à son poste de travail, dans l’accomplissement de ses missions et donc dans son intégration dans l’entreprise. D’autre part, cette politique permettra d’améliorer la productivité de l’entreprise puisqu’un “salarié heureux, c’est un salarié productif”.

Son objectif, c’est de prendre soin des salariés : seulement 38.8 % de ces derniers estiment que leur entreprise prend en compte la santé au travail.

Or, la santé au travail : les TMS, les maladies, les inaptitudes, le turn over sont des indicateurs forts pour mettre en place la QVT. 

Il faut donc permettre de libérer son énergie (44% précisent que la charge mentale a été lourde). Il est utile de permettre aux salariés de marquer une véritable scission entre vie privée et vie professionnelle (68.8 % ont manqué de déconnection lors des périodes de télétravail, ce qui amène forcément l'employé à se sentir anxiogène).

Cela dit, la QVT n’est pas profitable qu’aux salariés. Elle permet tout aussi bien de donner une image positive de l’entreprise. On valorise donc la marque employeur.

C’est très important, dans un contexte où les recrutements peuvent être difficiles dans certains secteurs d’activité. L’entreprise attire alors des talents.

Les candidats peuvent ainsi choisir l’entreprise qui mettra en avant une politique de QVT. C’est une sorte de cercle vertueux. 

Comment mettre en place une politique QVT ?

Cette tâche revient au dirigeant ; c’est à lui d’investir cette sphère avec les RH et le CSE.

Il peut par exemple proposer l’intervention de professionnels au sein de l’entreprise. Les principes de QVT ne demandent pas la mise en œuvre de moyens colossaux ; de petites actions suffisent : il est possible d’assouplir l’organisation du travail par exemple ou encore de réorganiser les espaces de travail.

Il peut être aussi agréable de proposer des exercices physiques sur le poste de travail, en individuel et /ou en groupe. Les bienfaits en sont multiples : 

- Le corps est une machine qu’il faut faire fonctionner, se lever toutes les 55 minutes en permettant l’activité physique est un bon moyen de le stimuler intelligemment.

- Par l’exercice, on évite aussi la surcharge mentale : faire des pauses, des exercices de respirations est un bon moyen d’éliminer cela. 

Mettre en place une politique QVT, c’est avant tout travailler sur son organisation. Elle doit faire un travail de l’existant et de ce qui pourrait être amélioré.

C’est aussi un moyen de questionner ses salariés et ses représentants du personnel. Le dialogue social est essentiel dans la mise en place d’une politique de QVT.

Dans notre questionnaire, il est dit que 50% des salariés se sentent impliqués et intégrés aux décisions : la communication est donc bien réelle dans les entreprises.

Il s’agit aussi de sortir peut-être de sa zone de confort, pour développer sa performance et sa productivité.

Quels peuvent être les partenaires à démarcher ? 

L’entreprise doit pouvoir se faire aider par des professionnels. Nous l’avons bien vu pendant cette semaine.

 On voit par exemple dans le questionnaire, que c’est aussi le souhait de 47.1% des salariés que l’employeur organise des séances de sport.

Cela peut être des séances de coaching, comme avec Olivier CHAMPION, des séances de naturopathie avec Benoit LADUNE ou encore de réflexologie avec David CASSIER.

L’entreprise peut aussi choisir de déléguer le travail d’auditeur et d’acteur de mise en place d’outils pour un travail de fond à des consultants experts de la QVT.

Les dirigeants peuvent se faire également aider par l’ANACT/ARACT : Agence Nationale des Conditions de Travail ou même avec la FFEPGV par Emmanuel BONNAVENTURE

Mais il est aussi très facile de commencer en mettant en place des actions de valorisation sociale, et donc des avantages sociaux pour les salariés un CE externalisé comme CAMCHA.

Avoir des réductions sur des parcs, ou des commerces locaux par exemple, peut être une première bonne démarche auprès de ses salariés, surtout dans le contexte actuel.

Cela permet une valorisation immédiate du salarié.

C’est ainsi qu’en faisant profiter vos collaborateurs des offres CAMCHA, vous pourrez atteindre vos objectifs de RSE dans votre entreprise en les valorisant, les gratifiant et en améliorant leur bien-être au travail.

En effet, CAMCHA :

·       Offre des avantages aux salariés et à leurs familles 

·       Propose un service type CE 

·       Est gratuit pour le chef d’entreprises et les indépendants 

·       Augmente le pouvoir d’achat 

·       Aide à la diminution du turn over 

·       Augmente l’engagement de ses salariés donc hausse de la productivité 

·       Permet d’atteindre ses objectifs de bien-être de ses salariés 

·       Augmente ainsi la marque employeur de l’entreprise (attraction de nouveaux talents)